Ce soir …le loup est avec vous…
Aimer, c’est bien….savoir aimer, c’est tout
de Chateaubriand
Archive pour le 27 avril, 2009
Le sable de la mer…
Un vent du sud vient déposer son sable sur mes cheveux….je sens ce que tu sens et je me délecte de ces senteurs venues de la mer…tu aimes l’océan…il te le rend bien…il m’envoie tes pas…il achemine ce qu’il y a de plus beau pour toi…la grève sur laquelle tu vas penser à moi…
Une nuée de sablon beige survole mon ciel…ce sont tes pensées qui me parviennent …elles sont si belles que je m’en imprègne…je suis pénétré par ta douceur…j’aimerais te voir vivre..évoluer…ta grâce est telle que j’aimerais danser sur la plage dorée avec toi….
Le soir venu…je m’installerais à ma fenêtre…je suivrais les étoiles filantes qui effleurent ton univers…je te sais regardant les mêmes phénomènes que moi…les astres nous unissent et chacune de mes aspirations sont guidées par ton sourire …et l’enchantement que je bois…
Les idées qui me viennent sont étranges…je me vois contre toi sur le sable…le sable a envahi nos cheveux…la mer roule la grève et ronronne pour nous…ce bourdonnement me charme et m’émerveille…l’eau est ton élément…nous irons tous les deux pour un bain…tu nous vois?…
Pourquoi dit-on »à vos souhaits » lorsqu’on éternue ?
Dans bien des langues, il est d’usage de ponctuer un éternuement d’une formule semblable: les anglophones diront God bless you!, les Polonais Na zdrowie et les Espagnols, Jesus!
L’origine de cette pratique est obscure, il y a des hypothèses, mais elles n’ont aucune valeur scientifique.
La plus courante veut que les souhaits émis visent à conjurer le mauvais sort. A une certaine époque, on croyait que l’âme était située dans la tête et que les éternuements pouvaient l’en expulser.
Il convenait donc de se retenir, mais, si quelqu’un ne pouvait s’empêcher d’éternuer, ses proches conjuraient le mauvais sort en prodiguant au »malheureux » des souhaits de santé ou de bonne fortune.
Edito…se mettre au vert…
Aujourd’hui en France
Décidément on est écologique sur ce blog…après les fruits voici une idée….
Vous allez certainement vouloir vous mettre au vert lors des ponts du mois de mai…précipitez vous sur la nouvelle carte des stations vertes distribuées gratuitement dans les offices du tourisme et les points d’information autoroutiers…
Cette carte référence 600 destinations ….mer, montagne ou campagne en France…des terroirs à découvrir ou tout simplement redécouvrir…
Cliquez pour tout savoir…le site est superbe et donne envie de vert….
Pour quoi dit-on ‘mettre les bouchées doubles’ ?
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Au départ, il y a la »bouchée », quantité d’aliment qu’on met en une seule fois dans la bouche.
Si, pour une raison quelconque, on veut manger rapidement ce qu’on a dans son assiette, il ne faut pas hésiter à doubler, voire tripler la taille de la bouchée.
Par extension et parce qu’on n’a pas forcément besoin d’accélérer que la mise en bouche, mettre les bouchées doubles est devenu synonyme d’aller plus vite, d’accélerer le mouvement
Vitamines au bureau…
Aujourd’hui en France économie
A l’époque où l’on ne cesse de nous rappeler qu’il faut manger cinq fruits et légumes par jour pour soigner son capital santé, le verger de Gally vient à votre secours…
La société possède 50ha de vergers dans la plaine de Versailles et propose le premier service fruits frais en entreprise…de jolies corbeilles de fruits sont disposés dans les accueils d’espaces bureaux…chacun peut se servir moyennant 0,40 cts par fruit…
Allez voir ces vergers…cliquez…
Pourquoi la mer ‘la Manche’ s’appelle-t-elle ainsi ?
Le bras de mer qui sépare la France et l’Angleterre a dit-on été nommé Manche britannique par métaphore avec le nom commun manche qui désigne la pièce de vêtement dans laquelle s’enfile le bras.Bien qu’en 1768, Bruzen de la Martinière répertorie dans son grand dictionnaire géographique, historique, et critique, plus de 15 Manches, l’usage va tout au long des siècles suivants restreindre le mot à la simple dénomination de la Manche britannique, les autres bras de mers étant appelés détroit et canal en fonction de leur taille.
Le Whif…vous connaissez?
Métro.fr
C’est du chocolat à respirer…shootez vous
Le Whif devrait ravir les passionnés de chocolat qui culpabilise à chaque carré avalé. Il s’agit d’un inhalateur à placer entre les lèvres qui équivaut à moins d’une calorie.
Au bout d’une inspiration, les microparticules de cacao tapissent le palais et chatouillent la langue d’une saveur chocolatée. Cette innovation culinaire arrive en France à compter du 29 avril prochain, date à laquelle le Laboshop à Paris et la boutique Colette (1er) commercialiseront ces petits tubes….
La saveur qui se dépose dans le palais n’a rien à voir avec celle ressentie lorsque l’on déguste un carré de chocolat. Il s’agit d’une nouvelle texture, totalement originale pour le consommateur….
Les gourmands doivent placer le Whif entre les lèvres, à l’horizontal et aspirer ou « whiffer » jusqu’à quatre fois. Au total, ces derniers auront ingéré l’équivalent de moins d’une calorie…
L’inhalation du produit n’a rien à voir avec celle d’une cigarette car les particules de chocolat contenues dans le Whif sont bien trop grandes pour arriver jusqu’aux poumons.
Encore une drôle d’invention…
Vous allez essayer?
Pourquoi dit on ‘sécher’ l’ecole ?
Expression du début du siècle, rappelez vous les enfants en blouse, la plume à la main, et l’encrier incrusté dans les tables en bois de l’école publique. Or pendant que l’élève fait l’école buissonière, l’encre sèche dans son encrier.Il »sèche » donc l’école !
Piperade basquaise
90 mL d’huile
1 oignon
2-3 tomates
1 piment d’espelette
1 poivron
2 gousses d’ail
3 oeufs (basques)
Queleques tranches de jambon de bayonne
Faites chauffer 30 ml d’huile.
Faites y légèrement revenir les oignons.
Réservez.
Pelez, retirez les graines et coupez en dés les tomates.
Faites les cuire à feu moyen environ 10 minutes. Réservez.
Retirez les épines et découpez en fines bandes le piment.
Faites de même avec le poivron.
Laissez cuire ensemble environ 10 minutes.
Versez alors les oignons et les tomates.
Pelez et hachez l’ail et ajoutez le à la préparation.Salez, poivrez.
Laissez mijoter le tout à feu doux une bonne heure.Mélangez régulièrement.
Attention au moment ou vous cassez les oeufs basques…
A utiliser chaud ou froid !
Avec du jambon de bayonne (merci Elisiana)
