A l’aube d’une nuit
La nuit est propice aux rêveries, une musique diffuse cet air que te souriait quand tu me la chantais.
Le jour je suis à toi, perdu dans mes pensées, reclus dans l’univers chancelant des folies et des essais.
Le soir, revient trop vite, et je m’agrippe à cet espoir de mélodie instable dévastatrice de mes sens.
L’aurore est là, je suis meurtri de mes pensées, enseveli dans un torrent d’idées je vois ton absence
Le crépuscule et sa décadence vont être mon habit, ta douce mélodie souriante n’est plus présente
L’aube se tournera à nouveau vers moi, me demandera un son nouveau , je sais que tu es absente
La veillée sera morne sans toi, ta musique sera triste telle un air de violon qui pleure dans le noir
La nuit est propice aux rêveries, c’est la porte de mes songes, le chemin de croix de mes espoirs
Tu as chanté cette nuit au théatre de tes exploits avec ce professeur Bayard qui envoutait nos soirs
http://www.youtube.com/v/_ippaLnRgdk&hl=en&fs=1