SIMPLE COMME UN COUP DE FIL
Reuters
Deux indiens ont été contraints d’échanger leur voeux par téléphone. Le futur marié vivant à l’étranger n’a pas suffisamment d’argent pour venir jusqu’en Inde.
Tout un village du Bengale a pu entendre Irin (18 ans) et Safikul échanger leur voeux grâce au téléphone portable dont la fonction haut parleur était activée. Ils ont déclaré « qubil » (oui, je le veux) à trois reprises et le mariage a été terminé.
Irin qui a accordé de nombreux interviews aux médias locaux a déclaré qu’elle n’avait vu son promis qu’une seule fois quand il était revenu en vacances. « Je ne lui avais jamais parlé, mais maintenant, je lui parle tous les jours »
Safikul rencontrera son épouse pour la première fois en octobre à l’occasion des vacances.
4 commentaires »
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En voici deux qui peuvent remercier Alexander Graham Bell d’avoir inventé ce merveilleux moyen de communication!
Amicalement
Saint-Sulpice
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oui, heureusement que monsieur Bell était est passé par là!!!
merci
amitiés
Bonsoir
Oui c’est bien, mais ils ne se sont vu qu’une fois!
Est-ce suffisant?
Il est vrai que dans ces pays tout est différent que chez nous
Bonne soirée
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tout à fait, c’est trés différent
les femmes sont promises à un homme et c’est simple comme un coup de fil
merci de ta visite Francine
bises