BANQUE ET ANTIQUAIRES

(France Soir)

On est loin des cinq milliards de la Société Générale, mais cette affaire relève d’une étonnante légèreté.

Demain, s’ouvre, au tribunal correctionnel de Paris, le procès d’une femme pour escroquerie. Pendant trois ans de 2001 à 2004, cette ancienne responsable comptable de la BNP Paribas, a détourné à son profit 15,7 Millions d’euros. Et ce sans jamais être inquiétée par le moindre contrôle interne de la banque.

Elle sera jugée aux cotés de trois antiquaires parisiens réputés auprès desquels, elle a écoulé sa petite fortune.

Pourquoi, pas de contrôles?

Réponse de son chef : Je la connaissais depuis 20 ans pourquoi la suspecter.

Réponse des antiquaires : Ce n’est pas à nous de demander la provenance des fonds engagés.

Qu’en pensez vous?

PRELEVEMENTS D’ORGANES TROUBLANTS

(LE PARISIEN)

L’affaire se passe au mois de Février à Paris. Je n’utiliserais pas le vocabulaire technique médical.

Un homme de 45 ans, victime d’un arrêt cardiaque est immédiatement pris en charge par le SAMU. Il bénéficie d’une réanimation pendant son transport à l’hôpital. Mais à son arrivée, son coeur ne bat toujours pas.

Après une heure trente d’arrêt cardiaque, il est considéré comme donneur potentiel. Avec un peu de retard, l’équipe de chirurgiens chargés de prélever le coeur commencent à installer l’appareil qui permet de garder les autres organes en place.

Mais pendant ces préparatifs, le patient montre des signes de vie….son coeur se remet à battre.

L’homme est aujourd’hui sur ses deux jambes.

C’est pas bien tout ça? Revivre plus d’une heure trente après sa mort!!!

Heureusement que les médecins étaient e retard!!!

 

LE CIEL A CHANGE DE COULEUR (Bande des quatre)

Quand Marie arrive chez Elodie et Alain, elle sent bien qu’il vient de se passer quelque chose et se dit qu’elle n’aurait peut être pas du venir. Mais l’accueil est quand même chaleureux et Elodie, en deux mots, explique la situation.

_ mais le voila mon scoop!, André quitte la ville, ne sera plus prêtre et puis quoi encore?

_Marie!!! crie Elodie

Marie, se renferme, Elodie va la consoler, Alain ne sais que dire…Il regarde les deux femmes l’une contre l’autre et tous ses sens en sont éveillés. Il laisse passer un instant qui lui semble interminable et va embrasser Marie sur la joue pour lui prouver son amitié.

André arrive, l’air toujours aussi sombre. Alain lui fait comprendre que Marie est au courant de sa décision. Il se détend. Elodie le fixe. Elle sait qu’elle est la cause de  la décision de son beau frère. Il lui faut lui parler seule à seul. Il lui faut trouver une occasion. Elle regarde aussi Marie si jolie, son mari qu’elle aime de toutes ses forces et se mord les doigts pour ne pas dire tout ce qu’elle a dans le coeur. Combien de temps pourra-t-elle cacher son coeur et ses craintes.

C’est André qui donnera une petite occasion qu’elle va saisir

_ Avant de partir, je dois parler avec Elodie, j’espère que tu le voudras bien chère belle soeur et j’espère qu’Alain acceptera que je confesse son épouse.

Quelle solennité!!! s’exclame Alain, tu peux voir Elodie quand tu le veux. Elodie peut te le dire également.

_merci cher frère, Elodie, on se voit demain matin chez moi?

- Oui quand tu veux, OK pour demain matin.

_ et si nous allions déjeuner tous les quatre lance Marie.

_ ils répondent tous oui ensemble.

L’appartement résonne encore de leurs rires.

Pendant ce temps, Gilles émerge. Il a encore une drôle d’idée…

Paulo, s’occupe de son chat qui lui ronronne dans les oreilles….Il est loin de penser à ce qui va lui arriver.

L’APPEL (Stage et examen)

Le stage débute donc dans la caserne Klebert de Lille. Fred et ses vingt camarades apprennent la gestion de l’ordinaire. De la confection du menu au plan d’approvisionnement, des réceptions de marchandise à la comptabilité des magasins de vivre, de la gestion des calories d’un repas aux vérifications journalières en matière de santé.

Ils élaborent des menus à blanc, effectuent les sortie de marchandises et calculent le prix de revient d’une journée par homme. A l’époque, il ne devait pas dépasser  9, 5 francs par homme et par jour (c’était en 1973). Un exemple, un oeuf valait 50 centimes, il fallait deux oeufs par personne pour une omelette, un poisson pané coûtait 60 centimes, ils en donnaient deux par personne.  Le travail l’intéresse car il fallait calculer au plus juste entre le petit déjeuner et les deux repas du midi et du soir.

Ils effectuent des visites dans les entreprises comme Pomona pour les fruits et légumes et les surgelés. il déjeunent avec les patrons de ces entreprises, prennent des contacts pour leurs commandes futures. Ils ont également l’occasion de visiter les abattoirs Saint André de Lille ou l’on fabrique les produits CABY. enfin, ce stage lui est trés bénéfique sur le plan administratif et il est prêt à prendre un point de restauration comme celui de Margival.

A son retour, il apprend que son examen CM2 aura lieu la semaine suivante. Il vient de passe sergent chef, il a beaucoup de travail avec les munitions et le foyer et doit se rendre à Compiègne pour y passer cet examen trés important pour sa carrière.

Quand il arrive à Compiègne, c’est une grande désillusion qui l’attend….

Il refuse l’argent des enchères

LCI.fr

Un nu de Carla Bruni, réalisé il y a quinze ans, a été vendu aux enchères à New York.

L’association Kantha Bopha Children’s qui doit recevoir les 91000 dollars fruit de la vente.

Le dirigeant suisse de l’association a refusé cet argent par respect pour les familles cambodgiennes qu’il aide. Il ne veut pas que son association soit mêlée à l’utilisation médiatique de la nudité. Cette exploitation du corps féminin sera perçue au Cambodge comme une insulte.

De plus il pense que cette somme versée faisait partie d’un plan de publicité pour assurer la notoriété du photographe.

Pour un suisse, refuser autant d’argent, c’est un miracle….C’est trés bien monsieur.

 

GENDARMES

(Ouest France)

Messieurs les gendarmes vous êtes en train de faire votre malheur!!!

Une association de la loi 1901 vient de naître. C’est le forum « Gendarme et citoyen » Elle a pour but de donner  la possibilité aux gendarmes (qui de par leur statut, sont soumis au devoir de réserve) de prendre la parole sous un pseudo, pour crier leur mal être.

Les conjoints se plaignent du manque de vie de famille et d’être obligés d’habiter dans une caserne.

Les gendarmes se plaignent de ne pas avoir le droit de parler.

Messieurs vous avez choisi ce métier en connaissance de cause, vous saviez tout cela en vous engageant dans la gendarmerie. Si vous voulez rester honnête avec ceux qui vous emploient et avec vous même, démissionnez. La France compte trois millions de chômeurs dont certains sont prêts à prendre votre place.

Vous voulez habiter en dehors des casernes, allez y et payez votre loyer comme tout policier, puisque vous les enviez.

La police, c’est ce que vous allez bientot devenir….Vous aurez tout perdu et vous aurez tué la gendarmrie nationale que le monde entier nous envie. Alors bonne continuation dans la police, vous aurez les memes horaire mais pas les memes avantages. Vous n’aurez pas le beurre et l’argent du beurre quand vous devrez payer votre loyer et partir à la retraite en meme temps que le policier.

Les gens qui vous embarquent dans cette aventures doivent etre payés pour faire mourir votre institution.

A REIMS ON NE RIGOLE PAS AVEC LE REGLEMENT

(Aujourd’hui en France)

A Reims, un adolescente de 14 ans est convoquée devant le tribunal de la ville pour avoir laissé son chien faire ses besoins sur un parking et ne pas avoir ramassé.

La jeune fille a été contrôlée par des policiers municipaux trés à cheval sur le règlement et a déjà écopée d’une amende de 35 euros

La maman crie au scandale, car, pour elle, l’amende suffisait.

Madame, le règlement c’est pour tout le monde, et l’éducation commence au berceau…ça évite de payer  des amendes. Parce que tout le monde se fiche de tout en ce moment, il faut se ressaisir….

Bravo messieurs les policiers.

Qui a raison, la dame et la jeune fille ou les policiers et le tribunal?

TOUS AVEUGLES

(LCI.fr)

Le 30 MARS dernier, j’ai écrit un article sur le commerce des lunettes.(à relire)

Hier soir, la ministre de la santé » en a remis une louche », elle souhaite que la Sécurité Sociale se désengage totalement de certains service comme l’optique. Ces secteurs seraient pris en charge par la complémentaire santé, au seul motif qu’elles sont bénéficiaires.

On croit rêver!!!

Que deviennent ceux qui gagnent juste de quoi vivre et pas assez pour se payer une mutuelle, mais encore trop et qui ne bénéficient pas de la CMU. A quoi sert de payer chaque mois deux CSG et un RDS, si on est plus remboursé!!!.

Si j’ai bien compris, seuls les gens aisés et les bénéficiaires de la CMU auront des lunettes et pour le français moyen, il sera aveugle, mais pas sourd….ni muet…

 

LE CIEL A CHANGE DE COULEUR (la décision d’André)

Avant de se rendre à l’évêché, Alain va téléphoner à son frère pour lui annoncer sa décision.

Alain est abasourdi par la révélation.

_ mais que vas tu faire?

_ je vais partir et faire dans l’humanitaire, on m’a déjà proposé il y a six mois, j’avais refusé à l’époque et je ne t’en avais même pas parlé.

_ réfléchis encore un peu…

_……..non, Alain, c’est décidé, je vais voir l’évêque maintenant, de toute façon je passe te voir après tu seras ou?

_ je reste à la maison avec Elodie aujourd’hui, le cabinet est fermé.

_ OK à tout à l’heure.

Alain raccroche, il parle à Elodie de sa conversation avec son frère. Elodie blanchit, elle se doute des raisons de la décision de son beau frère. Elle pense qu’elle doit parler à Alain mais se dit qu’elle doit attendre qu’André vienne s’expliquer et aussi, elle doit en parler à sa confidente Marie.

Marie, elle, est à la péche aux scoops, et pour l’instant ça ne mord pas. Elle se dit qu’elle passerait bien faire un petit coucou à Elodie et Alain histoire de se faire payer un café. Quand elle arrive chez le couple, elle les trouve effondrés. Que se passe-t-il?

André a vu son éveque, cela ne s’est pas trés bien passé. …

L’APPEL ( Lille)

Fred accepte de prendre en charge le service restauration du centre. Il va donc quitter les munitions, le foyer et le fourrier.

Il passera sergent chef en Avril et sera gérant de l’ordinaire(c’est le nom du service restauration) en juillet. Il n’y connaît rien dans cette comptabilité et doit donc effectuer un stage qui se déroulera sur quinze jours à Lille. Le Centre envoie un message au GMR2 de Lille, qui doit accueillir le stage des officiers d’ordinaire, pour y faire inscrire Fred. Il est précisé dans ce message que Fred arrivera le dimanche soir en gare de lille et qu’il est demandé un accueil en gare et une chambre pour la nuit de dimanche à lundi.

Le dimanche soir, Fred arrive à Lille, à la gare, il ne voit pas de véhicule militaire. Il attend un peu, buvant une bière au  buffet et ne voyant toujours rien, il demande à un taxi de l’emmener au GMR2. L’organisme militaire est situé dans la vieille ville. Il y fait sombre. Le taxi dépose Fred et repart. Fred se présente au poste de police avec son message retenant une chambre. Le planton lui demande d’attendre, quand un adjudant chef complètement ivre fait son irruption et jette Fred comme un malpropre, estimant qu’il a autre chose à faire que de s’occuper d’un « jeune trou du cul ».

Fred se retrouve seul, dans le noir, avec sa valise dans une vieille ville qui ressemble aux coupes gorges du film « Le Bossu ». Il repart à pied à la gare « au pif », guettant chaque coin de rue, ayant peur de prendre un coup de couteau. Il ne rencontrera personne, mais arrivé à la gare, la ville vit comme en plein jour. Les gens sont dans les restaurants, il ya de la musique, une odeur de moules, de frites et de bière. Il trouve un hôtel et décide de sortir vivre avec ces gens. Il est passé minuit. Deux femmes l’accostent et lui disent « c’est 200 francs pour les deux ». Fred n’a pas l’habitude de cette vie là et annone en se sauvant. A belfort, personne n’aurait osé l’accoster de la sorte.

Il va entrer dans une brasserie quand une toute jeune fille l’approche. Elle lui demande simplement de la faire manger et dormir dans sa chambre d’hôtel pour quelques heures d’amour. Fred lui dit qu’il invite à manger un plat de moules frites. La gamine(22ans) est contente et ils entrent dans la brasserie. Au moins, il ne dîne pas tout seul. La jeune fille se livre. Elle est étudiante et ne sait, ni ou dormir, ni ou manger, alors, elle se prostitue pour continuer à suivre ses études. Après le repas, elle redemande le gîte à Fred. Ce dernier accepte de la prendre dans sa chambre. Arrivés dans la petite chambre, Fred lui demande de simplement dormir, il est marié et si cette nuit peut lui rendre service, il le fait naturellement avec amitié sans rien demander en échange.

Fred espère que cette jeune fille a réussi ses études de droit et qu’elle a maintenant un beau métier et une belle famille. Peut être même pense -t-elle à lui, parfois….