NOUVELLES d’hier, d’aujourd’hui, de demain

A se lire, on finit par se connaitre………….

Archive pour le 7 avril, 2008

LE CIEL A CHANGE DE COULEUR (comment aimer comme ça?)

Posté : 7 avril, 2008 @ 7:22 dans liberte de pensee | 4 commentaires »

Les deux femmes doivent s’expliquer, mais pour Elodie comment faire taire cet amour naissant contre nature.?

Gilles ne comprend rien à ce que Paulo lui dit de faire. Paulo se propose encore une fois pensant que son ami va faire foirer l’affaire.

_ tu vas, ou je vais voir le curé et tu lui dit que tu sais tout et tu lui dit ça sera 250 euros par mois ou je raconte tout à un journaliste et avec le scandale que ça va faire pour votre frère le médecin …..Il va te répondre qu’il n’a pas d’argent. Tu lui dit que c’est pas ton problème, son frangin en a lui il a qu’a demander.

Gilles a du mal a comprendre, forcément pense Paulo, la bière. Il décide de passer à l’action lui même. Il part voir le curé….

Marie attend Elodie. Elle aussi se demande comment va se passer cette entrevue. Elle a tellement envie d’aimer, son amie. Elle est décidée à tout pour ne pas la perdre. Elodie arrive, le teint légèrement rose. Les deux amies se regardent longuement, elles s’embrassent simplement, et rien que cette bise enflamme Marie qui se met à pleurer chaudement. Ses larmes coulent dans le cou d’Elodie. On sonne à la porte d’entrée. Marie sèche ses larmes et va ouvrir. C’est son rédacteur en chef qui viens lui donner un scoop. Elodie s’efface discrètement, laissant parler les journalistes. Le rédacchef part et laisse les deux jeunes femmes à nouveau seules. Comment va se passer leur entretien, que vont se dire ces deux amoureuses, Elodie doit déjà sauver son mariage. Elle pense à Alain, dans leur lit ce soir elle va lui faire l’amour comme jamais pour lui montrer son amour mais comment, …….avec Marie?…..

L’APPEL ( Moniteur commando)

Posté : 7 avril, 2008 @ 6:27 dans vocation | 3 commentaires »

Le caporal le salue, il lui demande de le suivre jusqu’au PC.

On y va à pied. Un chemin qui lui parait interminable sur un petite route goudronnée, bordée d’arbres, en pleine foret. Sur le coté droit de la route, ils dépassent des blockhaus aux mur de deux mètres de large. La route monte, et au détour d’un virage, le caporal dit  » c’est là ». Il le fait entrer dans un blockhaus, un couloir au sol vert et des bureaux. Celà semble irréaliste. Il est attendu par le chef de centre. Le commandant est un homme bourru. Il commence et termine touts ses phrases par un « bon sang » retentissant.

_ bon sang vous êtes affecté ici bon sang

_ c’est exact mon commandant

_ bon sang d’ou venez vous bon sang

_ du 35 à Belfort

_bon sang…je vous affecte à ‘atelier pistes bon sang allez y vous )présenter bon sang!!! »

Fred se sauve presque. Quel homme!!!

Le caporal l’amène à l’atelier piste. C’est également un bunker. Là personne ne s’occupe de lui de la matinée. Il erre dans le couloir. Un sergent chef arrive, « c’est toi le nouveau?, suis moi! »

Il lui fait faire le tour des pistes du risque, « une partie avant le mess, on boit un coup et la partie après le mess ensuite, cet après midi. » Ils boivent donc une bière au mess et reprennent la visite. Tout en allant, le chef lui explique le travail.

_ déjà, on est en inter stage d’été. les stages commandos reprennent en septembre alors t’as rien à faire pendant deux mois. Enfin si, mettre en état le matériel mais ça va pas te prendre autant de temps. Deux jours et t’auras fini. En septembre, comme tu ne connais rien, tu sera magasinier, pas question pour toi d’être moniteur, on est déjà complet. »

Comme accueil, on aurait pu trouver mieux. Il se demande alors s’il n’aurait pas fait une énorme bêtise en refusant l’offre du colonel du 67° RI.

Il va déchanter…..

 

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