Les séquences sont de plus en plus poussées, les hommes sont aguerris, ils dorment le plus souvent dans les bois, ou ils marchent vers un coup de commando à effectuer. Les heures de repos se comptent en minutes. Il lui est arrivé de dormir en marchant tant la fatigue était grande.
Ils escaladent, descendent en rappel, franchissent les douves sur des câbles, courent sur la piste rouge ou tremble sur la piste noire. Tout est noté, la moindre hésitation sur un obstacle est pénalisée. Si un commando s’assure sur la piste rouge, il est perd des points. C’est la note finale qui donnera le brevet. Si vous devez faire sauter un rail, il faut bien calculer la quantité d’explosif a utiliser et réussir a casser net le rail.
Ils apprennent à se battre, à poignarder des sentinelles ou se défendre à mains nues. C’est le combat corps à corps.
Il sont testés également sur leur agressivité et pour ce faire ils vont avoir un vrai combat de boxe à disputer. Après quelques cours sur le crochet, l’uppercut ou le coup droit et l’esquive, ils sont pesé et on leur attribue un adversaire en fonction de leur poids. Fred tombe sur le sergent chef CASS…un homme déjà mur et de ceux qui critiquaient en permanence le manque d’expérience des jeunes. On ne donne pas cher de la peau de Fred face à cet adversaire.
Le combat commence, il sort de son coin comme un diable de sa boite, se jette sur le chef qui le cueille d’un uppercut qui lui fait voir trente six chandelles. Il est sonné, met une main à terre, se relève et assène une droite telle ment forte à CASS… que ce dernier va voler dans les corde KO. »Break » crie l’arbitre. Un infirmier se précipite se CASS, il n’a rien mais n’est pas autorisé à reprendre le combat.
Il lui faut un autre adversaire pour être noté et on lui désigne un de ses meilleur camarades. Il boxera sans hargne, mais le combat ne durera pas plus longtemps, son camarade, le visage en sang est dirigé vers l’infirmerie. Ces deux combats lui ont fait rattraper son retard de points.