André, pense à son frère, heureux sur son île avec Elodie. Après sa messe du matin, il se rend à l’hôpital. Inconsciemment, pour son bien moral, il est content de pas y rencontrer la jeune infirmière. Mais, son absence lui est difficile à accepter. Il voudrait être à la place d’Alain et ne pas à souffrir cet amour qui naît en lui. Comment résister? Il a réussi jusqu’à présent, il se doit de garder son calme. Il se doute que l’évêque se doute de quelque chose, pour lui avoir enlevé ses anciennes attributions. Que pense l’évêque? Se doute-t-il de cet amour qui lui ronge l’esprit. Il pense aller se confesser, mais cette solution ne le satisfait pas. Il préfère souffrir en silence et pouvoir approcher Elodie de temps en temps sans jamais laisser paraître son amour pour elle. Il s’est aperçu que la jeune femme était troublée par son comportement, il prend la résolution de ne plus la fixer du regard.
Marie continue son enquête, parfois elle rencontre le curé, le frère du fiancé de sa nouvelle amie. Elodie lui manque, il lui tarde de la revoir, souriante insouciante et, surtout, elle sait qu’Elodie a réussi son doctorat et chacun ici attend son retour pour qu’elle l’apprenne officiellement. Le prêtre, lui, la chagrine un peu. Pas un mot, pas un regard, pas une pensée certainement!!! Comme il est différent de son frère, si attachant et prévenant, le jour et la nuit.!!!
André est au service orthopédique. Il mesure le manque de chaleur sans la présence d’Elodie. Il passe de chambre en chambre, partage un petit moment avec chacun, encourage les uns ou partage le café avec d’autres. Il se plaît dans ce service et pense qu’Elodie y a fait quelque chose pour que le personnel soit aussi chaleureux. Il entre dans la chambre de Gilles. Ce dernier est toujours à la recherche de sa vérité. Qui est cet homme, ou l’a-t-il vu? C’est un souvenir lointain mais un souvenir pénible. Qui est ce curé?