L’APPEL (Projection sur l’avenir)
Nous sommes toujours en pause, l’histoire reprendra demain.
Comme je vous l’ai dit au début, l’homme a traversé une génération dans l’institution militaire. Forcément, il s’est trouvé en présence ou témoin de drames. Que ces drames soient humains, familiaux ou militaires, faut il les relater? Appartiennent ils à l’histoire au bout de 35 Ans ou faut il passer dessus pour ne pas réveiller des douleurs…
Seul un historien, un homme politique ou un chef militaire peut, en s’identifiant sur ma messagerie privée, me donner l’autorisation de relater ces faits.
Dans quelques semaine, nous aborderons un autre épisode de la vie de cet homme avec sa mutation dans un camp militaire situé dans un petit village de l’Aisne et au passé historique oublié. A ce moment là, il faudra ou ne faudra-t-il pas raconter l’histoire vraie?
J’attends donc une réponse. Sans réponse, je déciderai en mon âme et conscience, surtout la conscience.
Nous reprenons demain matin notre histoire.
2 commentaires »
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avoue que ce serait dommage de taire la suite, après tout ce que tu as relaté.. et puis notre soldat est/a une trace dans l’histoire.
Comme ses ancêtres et ses contemporains, il est une empreinte d’une vie dans le temps.. mais je ne suis pas en mesure moi non plus de dire quoi que ce soit.. je n’ai aucune légitimité face à la vérité.
en espérant tout de même avoir la suite..
zaz
tu auras la suite Zaza, mais les événements parfois sont si douloureux que parfois je m’interroge; je ne voudrais pas faire de mal à des gens pour qui, ces événements rappeleront une déchirure qui a eu beaucoup de mal à cicatriser.
Mais je peux te dire en privée de quoi il retourne et tu me donneras ton sentiment
francis