C’EST SON HISTOIRE 3

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C’est le matin, encore un clairon, il fait noir en novembre.

Il faut s’habiller, en bleu, survet, tennis et faire comme une multitude de petits bonshommes bleus, dévaler les escaliers

 4 à 4 ET COURRIR et plus vite et plus vite encore, se mettre en rang comme à l’école et tout le monde crie, crie…..infernal!!

Assez! il ne rêve pas c’est affreux, il marche dans les rang et tout le monde se met à chanter une chanson qu’il ne connaît pas »malgré les balles , malgré les obus » et ceci revient jusqu’à l’arrivée devant un autre bâtiment que les hommes qui commandent appellent l’ordinaire. L’ordinaire de quoi?

C’est un réfectoire, avec des tables de 8 et un café esr servi à chacun.

A SUIVRE, la première journée

ELLE EST SORTIE DE L’HOPITAL (SUITE DE LA FIN)

Elle n’est toujours pas bien, à son age elle vient d’apprendre qu’une voisine est décédée dans l’hopital.

Elle pense que c’est peut etre elle, mais non elle là avec ses pensées de son temps,  de ses parents, qui bien sur ne sont plus là et  ses enfants qui ne comprennent rien. A 50 ans ils ont toujourd 10 ans.

C’est peut etre un maladie de la mémoire qui arrive lentement, et qui fait frémir.

L’hopital n’est pas si mauvais qu’on le dit. Il faut penser que ce travail est assomant et qu’un décès est un échec.

L’homme est sur la terre un certain temps et de toute façon on ira tous peut etre pas au paradis mais on ira tous

rejoindre nos parents.

Vivons pendant que nous sommes vivants

OUI je dis que les personnels des hopitaux ont un travail à vocation mais ne doivent pas etre esclave de leur vocation

comme les militaires que j’évoquerai bientot car j’ai des connaissances dans ce domaine (je connais des gens qui ont cette vocation)

a bientot pour connaitre mes reflexions sur l’armée

francis02